La chaleur subite (et vite disparue) de ces derniers jours me fait penser aux promesses électorales non tenues. N’en reste que l’avant-goût. En nous rendant à la fraîcheur d’avril, le ciel nous renvoie à l’intérieur de nos maisons, le temps que la pluie cesse. Non pas chaud devant mais chaud dedans aujourd’hui. Une petite main qui se glisse dans la mienne, confiante parce que la maman est occupée ailleurs. Chauds les mots qui terminent la pensée de l’autre. Chaud le regard pétillant. Une douceur qui vaut bien toutes les canicules…
©Asphodèle – 17 avril 2015
Moins de 100 mots : 90
Sur le vif : oui.
Éléments du réel : oui
En accord avec le thème : oui.
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