Quand vous lirez ces lignes, je serai occupée en cuisine, j’attends de la famille avec impatience mais vous risquez de ne pas me voir jusqu’à jeudi (vous avez l’habitude n’est-ce pas 😆 ) ! Lire la suite
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Flash info…
Le vent a endommagé la ligne téléphonique d’Asphodèle et elle se voit contrainte de faire une pause blog jusqu’au 17 mars. Par l’intermédiaire de Syl., elle assurera le rendez-vous des haïkus demain.
Vous pouvez laisser vos liens sur la page consacrée aux poésies… comme à votre habitude.
A bientôt !
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Agnès et Leo pour mon lundi !
Quand Agnès Obel reprend Hallelujah de Leonard Cohen, je me demande si je ne suis pas au paradis ! Non ? En touts cas ça y ressemble ! Alors, je suis obligée de vous en faire profiter…enfin…pour ceux qui aiment !
Clic sur le 2ème lien ci-dessous, l’intégration YouTube risque d’être supprimée pour les droits d’auteur…
Le fruit de l’arbre sec
Je reblogue rarement un article mais là… quand l’Ecriturbulente se lance dans un concours de nouvelles et a besoin de votes, de soutien, je n’hésite pas, surtout quand j’ai aimé ladite nouvelle ! Vous trouverez les liens pour aller voter, c’est simple comme bonjour ! Ne vous en privez pas ! Merci à vous !
Je me suis lancée (si si, j’ai osé) dans un challenge d’écriture organisé par Short Édition et le Département de l’Isère, pour le Prix Short Paysages. C’est la Médiathèque départementale – Service de la lecture publique du Département de l’Isère qui pilote ce concours de nouvelles (suivez les liens en rouge).
Le thème du jeu est « Paysage – Paysages isérois» et c’est sur ce thème qu’il faut créer une œuvre, un Très très court (une micro-nouvelle) ou un Poème.
Tous les genres littéraires seront acceptés : romance, thriller, fantastique, science-fiction, instant de vie… tant que l’oeuvre mentionne un paysage isérois, en toile de fond ou en sujet principal.
Trois catégories sont proposées :
- Très très court : micro nouvelle d’une longueur de 6000 signes maximum (espaces compris) au ton, à la forme, au style de votre choix.
- Poème : il n’y a pas de longueur minimum ou maximum requise et…
Voir l’article original 1 233 mots de plus
Gâteau moelleux à l’orange (presque) sanguine !
Un moelleux que j’avais cuisiné avant Noël et que j’ai voulu refaire…dans le cadre du Mois du polar de Sharon, avec des oranges sanguines. Mais…il s’avère que trouver des VRAIES oranges sanguines sanguinolentes est difficile dans mon b!ed. Après un dialogue de sourds avec mon épicier à qui je passais commande il me dit : »Elles ne sont pas rouges à l’extérieur mais rouges à l’intérieur », moi : « Ha …mais ce sont des sanguines ? » ; ! Lui : « moui ». J’ai évalué ce « moui » timide, pas très convaincu et pour cause. Sur l’étiquette pastillée sur l’orange, il était précisé (en espagnol certes mais quand même) qu’il s’agissait d’oranges à « intérieur » rouge. Quel patakès, me direz-vous ! Sauf qu’elles n’avaient pas non plus vraiment le goût particulier des sanguines que j’aime tant. Bref… Autre point, on m’avait conseillé de le faire dans un moule à savarin ou moule à « baba » vu qu’il est généreusement arrosé quand il sort du four mais le mien a disparu, ma voisine m’a donc prêté un moule à kouglof. Booon… je vous rassure, le gâteau est très bon, très moelleux mais il n’a pas cuit-doré comme je le voulais, je saurai pour la prochaine fois. Après toutes ces considérations futiles, si vous êtes encore là, voici la recette ! Lire la suite
2015 en révision et exit 2015 !
Je voulais d’abord remercier tous ceux qui ont commenté mon précédent billet et à qui je n’ai pas encore répondu… No comment ! En ce premier jour de l’année, je ne ferai pas de bilan livresque ni de bilan tout court de celle qui vient juste d’expirer. Non pas que je n’ai pas lu, non pas que je n’ai pas vécu, mais j’ai très peu chroniqué et je vous épargnerai le reste…WordPress en a fait un qui amuse, c’est mieux.
Il est des années qu’on est content de quitter. Mais comme je ne crois pas aux miracles instantanés, je ne mets pas d’espoirs insensés en 2016, je suis juste contente de tourner la page de l’éphéméride et me dire que ça ne pourra pas être pire, qu’il reste tant de belles choses à explorer, de gens formidables à rencontrer, à revoir, de livres pour lesquels s’enflammer, je me dis que ces petits bonheurs sont le sel de notre vie. Comme ces temps morts dont on se sert pour alimenter notre blog deviennent parfois des temps forts. Tout est dans notre art à pouvoir transformer…les essais et les ratés ! Et je suis sûre que nous passerons une belle année ensemble !
Alors merci à vous qui faites de ce blog ce qu’il est, à ceux qui commentent ou pas, qui passent en silence, à ceux qui sont devenus des amis et d’autres en devenir. Je vous souhaite à tous une excellente année 2016 !
Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2015 de ce blog.
En voici un extrait :
Le Musée du Louvre accueille chaque année 8.500.000 visiteurs. Ce blog a été vu 130 000 fois en 2015. S’il était une exposition au Louvre, il faudrait à peu près 6 ans pour que chacun puisse la voir.
Poème pour le « Mémorial poétique » de Martine !
Martine notre « écrivaine turbulente qui devient écrevisse en écrivant » a proposé pour la mémoire des disparus du 13 novembre, que nous mettions un poème sur notre blog du 16 au 21 novembre (ou quand nous le pourrons dans ce créneau). Prise par les Plumes hier, j’ai cependant plongé mon nez dans quelques recueils que j’ai toujours à portée de main et je vous propose un extrait d’un magnifique (mais très long) poème de Pablo Neruda, extrait de Résidence sur la terre dont une grande partie est consacrée à la Guerre d’Espagne. Je vous mets la fin, j’ai pris le poème en photo pour ceux qui souhaiteraient le lire en entier (il s’agit du début du poème, avant l’extrait proposé mais c’est écrit petit.)
TERRES OFFENSÉES
(…)
Il y a tant, tant
de tombes, tant de martyrs, tant
de galops de bêtes contre l’étoile !
Rien, pas même la victoire
n’effacera le gouffre terrible du sang :
rien, ni la mer, ni le pas
de sable et de temps, ni le géranium embrasé
sur la sépulture.
Pablo Neruda – Résidence sur la terre ©Editorial Losada, S.A, Buenos Aires 1958.
©Éditions Gallimard, 1972 traduction de Guy Suarès et préface de Julio Cortazar.
Allons voir chez Martine, qui a déposé son poème aujourd’hui.
LA TERRE QUI PENCHE de Carole Martinez
Depuis deux mois que je vous
soûle bassine avec Carole Martinez, il était temps que je vous parle (au moins) de son dernier roman. C’est son absence dans le non-challaenge des pépites de Galéa qui m’a piqué aux fesses aiguillonnée ! Comment ? Personne ne l’a pépité ? Mais c’est inadmissible ! Je ne sais pas si ce billet sera objectif mais on s’en moque un peu, je ne suis pas sponsorisée hein ! Je vous livre ce que j’ai ressenti, mon émerveillement pour le style impeccable (c’est bien aussi les auteurs qui savent raconter des histoires ET écrire)… Dédicace à l’homme de Galéa qui avait été séduit par Dame Martinez lors de son passage à LGL… Lire la suite
À bouche perdue pour le jeudi en poésie…
Il est un blog intitulé Beauty will save the world, tenu par Schabrières et qui, tous les jours, diffuse de la poésie, un blog que je lis assidûment vous vous en doutez car j’y fais beaucoup de découvertes de poètes contemporains. Dernièrement, j’ai trouvé celui-ci d’un poète belge, Albert Ayguesparse, disparu en 1996 à l’âge de 96 ans. Poème qui a résonné en moi … je vous le fais écouter…
M’ont accompagné ce jeudi, les fidèles amis de la poésie : Lire la suite
Aujourd’hui, plaque de rue – 49/366 réels.
En ouvrant le journal régional, la première chose que j’ai vue (et unique photo d’ailleurs de ce papier numérique) fut cette plaque indiquant le nom de la rue où une femme motorisée a fauché un piéton, un homme de 36 ans mort de ses blessures à l’hôpital d’Angers. Quel souvenir pour les proches de cet homme quand ils repasseront dans cette rue ou entendront ce nom ! Ce n’est qu’un fait divers de plus diront les plus blasés mais je ne peux m’empêcher de penser que, désormais, derrière cette plaque s’en cachera une plus intime, commémorative et emplie de larmes…
©Asphodèle – 21 avril 2015.
©rédit photo : journal numérique FR3-Pays de Loire du 21 avril 2015.
moins de 100 mots : 96.
Sur le vif : oui
Éléments du réel : oui et non.
En accord avec le thème : oui.
Pour savoir Qui ? Quoi ? Comment, clic sur le logo ci-dessous !
Aujourd’hui, super héros – 21/366 réels à prise rapide, d’après un exercice de style de Raymond Queneau.
Contes, légendes, science-fiction, supers-productions hollywoodiennes surtout où grouillent les super héros. Je n’en ai pas, type Superman ou autre. Pas crédible pour moi et surtout aucune affinité avec le genre. Un super héros doit me faire rêver, et/ou susciter de l’admiration, et/ou faire vibrer une corde sensible. Alors c’est souvent le héros du livre que je lis (pas tous). Aujourd’hui il s’appelle Charlie, a au moins quatre-vingts ans et se déplace dans une forêt perdue entre les pages de « Il pleuvait des oiseaux » de Jocelyne Saucier. Je préfère les anti-héros…
©Asphodèle – 24 mars 2015
Nombre de mots : 92
Sur le vif : oui
Éléments du réel : oui
En accord avec le thème : oui.
Les règles sont les suivantes : écrire sur le vif, ne pas écrire plus de 100 mots, rapporter des éléments réels de sa journée sans en inventer et sans se référer à un jour antérieur, suivre la thématique de la date correspondante. La liste des thèmes et le règlement sont ici
Participent à cette étrange aventure : (ne sont notés que ceux que je suis) (il y en a sûrement d’autres sur la Toile) :
Valentyne (la Jument Verte) , Jean-Charles-Fred Mili (Histoires et Nouvelles) , Marlaguette (Destinée de pacotille), Martine (Littér’auteurs), Jacou (Les mots autographes) , Dominique (Un esprit sain dans un corps sage) , Martine27 (Mon carnet à malices) . . Nadael, trop occupée, a arrêté.
Croc (Des mots et des images , Rebecca Zartarian-Arabian (éponyme), Prudence Petitpas (éponyme), MarieJo64. Eva (Randonnez-vous dans ce blog) depuis le 1er mars). Ghislaine53. Passion Culture.
Le challenge Francis Scott Key Fitzgerald change de main… Récapitulation !
Ce challenge devait s’achever en octobre 2014 après trois ans de bons et loyaux services. Mais voilà, je ne parvenais pas à faire le bilan final car ça me faisait mal au coeur de me dire que c’était fini ! Comme le Challenge « à Tous prix » me prend beaucoup de temps, en comparaison de ce diesel, Sharon a accepté gentiment de prendre le relais, nous aurons toujours à lire un Fitzgerald ou une bio, ou des correspondances, ou des témoignages le concernant, lui et Zelda, voire Frances Patricia dite Scottie, leur fille. Certes, ça ne se lit pas comme une série policière mais de temps en temps, c’est une bouffée d’oxygène dans l’univers de ce poète intemporel qu’est Fitzgerald…
Comme vous le savez et comme l’indique l’intitulé du challenge, vous pouvez également lire les contemporains de Fitzgerald, des années 1920 à 1940 : Hemingway, Dos Passos, Dorothy Parker, etc. Même des livres récents mettant en scène ces années là à condition que l’esprit « Lost generation » et « Enfants du jazz » soit de la partie ! les films aussi sont acceptés, ce qui élargit le champ des possibles.
Je récapitule en ôtant les inscrits qui n’ont jamais participé. Soit 17 personnes qui se reconnaîtront en allant sur la page du challenge. Mais restent 24 personnes qui ont fait, pour la plupart un beau parcours dans les trois catégories proposées :
INSCRITS
1 -Syl, de Thé lectures et macarons : challenge honoré
1)Alabama Song de Gilles Leroy
2 -Anne de Des Mots et des Notes : challenge honoré
1) Z, le roman de Zelda de Thérèse Anne Fowler.
3 -Lou de Libellus : challenge honoré.
1) le film Gatsby le magnifique de Baz Lurhman.
4 -Jérôme de D’une berge à l’autre, son billet sur Gatsby : pas fini…
5 -MissyCornish :, ICI sur Tendre est la nuit et sur Alabama Song. Pas fini
6 – Jostein : presque fini !
1) Z, le roman de Zelda de Thérèse Anne Fowler
2) Gatsby le magnifique de F. Scott Fitzgerald/
7 -Jean-Charles : pas fini mais challenge terminé.
1) Zelda de Jacques Tournier
8 -Natiora : pas fini.
(billet de présentation) du Jardin de Natiora.
1) Coucher de soleil de William Faulkner.
9 -Ostinato de Lukea Livres : challenge terminé
billet de présentation ICI.
1) Gastby le magnifique, ICI.
2) La fille sur le coffre à bagages de John O’Hara.
3) Alabama Song de Gilles Leroy.
10 -Séverine :
(billet de présentation), des Chroniques assidues : pas fini.
1) Gatsby Le Magnifique.
11 -Galéa du blog Sous les galets : challenge terminé, mais possibilité de passer à la catégorie supérieure…
1) Tendre est la nuit,
2) ALABAMA SONG de Gilles Leroy.
3) Fitzgerald le désenchanté de Liliane Kerjan
12 -Lulamaea du blog Littérature(s) :
1) Tendre est la nuit. Challenge abandonné…
13 -L’Irrégulière de Les chroniques culturelles : challenge honoré mais peut continuer dans une autre catégorie !
1) Gatsby Le Magnifique,
2) Zelda de Thérèse Anne Fowler.
3) The Great Gatsby le film de Baz Luhrman
14 – Lili, La Petite Marchande de prose : il en reste un pour terminer !
1) – Gatsby le magnifique,
2)- Les new-yorkaises d’Edith Wharton .
Et son billet de présentation !
NABAB : 5 livres et plus, illimité !
15 -Béné31 du blog Des jours et des livres, : promue Nabab le 11.10.2013 : presque fini !
– son billet de présentation.
1) Un recueil d’entretiens, intitulé « Des livres et une Rolls »
2) L’envers du paradis ;
3) Trois heures du matin de Roger Grenier, une bio originale sur Fitz ;
4) Le dernier nabab ;
5) Les heureux et les damnés de Francis S. Fitzgerald
6) BD : Super Zelda de Tiziano Lo Porto et Daniele Marotta (Ed. Sarbacane) (Béné n’a pas aimé du tout) (30 juin 2014).
16 – Nathalie, promue Nabab le 23/04/2013 avec : presque fini également !
1)- Gatsby le Magnifique, le 25 janvier 2012
2)– Une bio sur la vie du couple Fitzgerald,
3)- La vie à deux de Dorothy Parker,
4)-L’étrange voyage de Benjamin Button et La lie du bonheur (nouvelles).
17 – Asphodèle : honoré…
1). Alabama Song, sous forme de lettre à l’auteur (Gilles Leroy) pour un jeu d’écriture chez Babélio.
2) Alabama Song de Gilles Leroy.
3). Zelda de Jacques Tournier (sur la vie du couple et le « making-of » de Tendre est la nuit). Chronique du 23.08.2011 ;
4). La Ballade du Rossignol Roulant (nouvelle) chronique du
29.09.2011. ;
5). Accordez-moi cette valse de Zelda Fitzgerald (15.12.2011) ;
6). Lots of Love, correspondance entre Francis et sa fille Frances dite Scottie.
7). Madame Hemingway de Paula McLain
8). Z, le roman de Zelda de Therese Anne Fowler
9). Lettres à Zelda et autres correspondances de F.S. Fitzgerald, première partie chroniquée, ICI.
10) Des livres et une Rolls (livres d’interviewes de F.S. Fitzgerald). Coup de coeur !
18 -Natacha de Marmelade de livres : challenge largement honoré !
1). Zelda de Jacques Tournier (chronique du 24.08.2011).
2). The Great Gatsby, (Chronique du 26 août 2011)
3). Lots of Love
4). La sorcière rousse (nouvelle) (chronique avril 2012)
5). Tout ce qui brille de Anna Godbersten, livre de 2012 mais qui se passe en 1929, avec ambiance « fitzgeraldienne », paraît-il !
6). Les heureux et les damnés et comme Natacha lit bien plus que moi de l’auteur elle a fait une page sur son blog, ICI.
7) Le dernier Nabab de F.Scott Fitzgerald
8) La ballade du rossignol roulant de F. Scott Fitzgerald
9) Super Zelda de Tiziana Lo Porto & Daniele Marotta
10) Paris est une fête d’Ernest Hemingway
11) The romantic Egoists de F. Scott et Zelda Fitzgerald
12) La mort du papillon de Pietro Citati.
19 – Aymeline de Arieste : pas fini
1) La Ballade du Rossignol roulant ;
20) Aircoba de La Dernière Phalange :* Hors concours car très antérieur mais à lire absolument si ce n’est déjà fait :
1) Gatsby Le Magnifique.
2) Tendre est la nuit, le 24/10/2011, magnifique aussi !
21) Sharon du blog de Sharon : Très bien honoré également !
1) La Vie à Deux de Dorothy Parker, ICI
2) Adios Hemingway de Leonardo Padura, ICI .
3) Paris est une Fête d’Ernest Hemingway, ICI.
4) Le dernier nabab de Francis S. Fitzgerald
5) Un légume (unique pièce de théâtre de l’auteur) de Francis S. Fitzgerald
6) Un recueil d’interviews de Francis Scott Fitzgerald, intitulé « Des livres et une Rolls »
7) Madame Hemingway de Paula McLain
8) Zelda de Michel Tournier
22 – Cynthia des Contes défaits : pas fini mais je peux te repasser en Zelda.
1)Gatsby le magnifique (23/04/2013)
23 – Owl du blog Tawny Owl : idem que pour Cynthia
1) The Great Gatsby
24 – Eeguab-Modrone : en cours…
1) Aventures d’un jeune homme de John Dos Passos.
À compter du 17 FÉVRIER 2015, merci de laisser vos liens chez SHARON, le challenge continue !
Les Logos de Natacha à votre disposition pour ce challenge, servez-vous si le coeur vous en dit !
Merci à tous les participants, moi je continue et j’espère vous retrouver chez Sharon, un challenge est souvent une mine d’idées…
LES PLUMES 38 – résultats de la bi-collecte « humeur du jour » !
Trente-huit mots qui partent dans tous les sens, plus mes trois mots en Q (hasard du calendrier, on se calme Choupi), ce n’est pas possible ! Donc j’ai fait deux listes. Vous pourrez choisir l’une ou l’autre, rajouter des mots de l’une à l’autre si le coeur vous en dit mais dans les deux cas, les mots en Q sont obligatoires (je n’ai pas été méchante, vous avez échappé à quenouille et quiche !)…
Je n’ai pas pris les mots dans l’ordre, j’espère seulement ne pas en avoir oublié… J’ai garder « emballer » de Pascal Bléval qui redondait avec « emballage de Janick, puisqu’ils ne sont pas dans la même liste.
LISTE N° 1 : 19 + 3 = 22 mots.
Insomnie, torpeur, flocon, inéluctable, agapes, fuite, cheminée, démesure, verdâtre, orange, mantille, victoire, illumination, attente, invitation, emballer, courage, chauffage, réussite, enfant, parole, quartier, quintessence, quelconque.
LISTE N°2 : 19 mots + 3 = 22 mots.
Fatigue, ronfler, étoile, cannibale, balthazar, réflexion, emballage, crainte, papillote, caraco, se réjouir, émerveillement, désir, étrennes, apaisement, inhalation, examen, maternité, mot, quartier, quintessence, quelconque.
Dans les deux cas, vous pouvez en laisser un de côté puisque il y en a plus de 20.
Alors, vous êtes au courant ? Choupi, alias Jean-Charles, alias Fred Mili, alias Cochonnet, ouvre un harem ! Il me trompe avec Célestine et propose la botte à Marlaguette sous mon nez ! J’ai exigé du café ! en intra-veineuse siouplaît !
S’il croit qu’il va se débarrasser de moi comme ça… je sais nager !
Alors, laquelle, un indice, je porte souvent du rose….
et dépêche-toi parce que le voyage de noces cheek to cheek est trèèèès compromis !
Célestine… qui fait la totale aussi ! Non ce n’est pas Lilou, quoique, à force j’ai des doutes !
avec cet ersatz de super héros, pffff ! Et DimdamDom, la pôvre… dans quel état elle est…
Si elle dit qu’elle n’a pas besoin de thérapie, on va la laisser fumer en cachette et se taire hein…
Quand Martine explique ce qu’est un balthazar… elle y met tout son coeur ! Notez que…
Monesille, elle, met de l’ardeur à finir son texte avant la fin de la collecte, meuh non tu n’étais pas visée !!! Tsss ! Attention aux prises quand même …
Mais Syl., MA SYL a décrété que je ne faisais pas le poids au Scrabble et refuse de me laisser gagner, c’est flagrant non ? (Il n’y a pas de petite vengeance, niak niak…) !
Mais là, nous entrons dans l’ère de la désolation…
On a perdu Soène : elle s’est remise à ruminer, Noël l’angoisse ! On pense à toi Soène !
On a perdu Valentyne : la Jument Verte est devenue une jument de papier (musique…)
On a perdu Cériat : vous avez son signalement, n’oubliez pas de me contacter au N° vert mis en place pour l’occasion ! 06.66.66.66.66. Pendant ce temps, Mindounet…
me fait d’étranges suggestions ! Le changement et bla et bla, on en reparlera, pleure pas !
Allez, je ne vous retarde pas plus avec mes élucubrations
Je vais bien dormir cette nuit !
A vos plumes, et à samedi pour la lecture de vos textes ! Bonne semaine à tous ! (Célestine et Marla, dans mon bureau s’il vous plaît !)
Le numéro 4 de Glaz! est enfin disponible!
Parce que ce magazine mérite d’être lu, parce que ce N° est un « spécial Bretagne », je vous encourage à vous jeter dessus !
Le numéro 4 de Glaz! Spécial Bretagne est disponible. Un numéro bien fourni, auquel de nombreux contributeurs ont participé. J’en suis ravie! C’était le but de départ : construire quelque chose ensemble!
Les appels à texte reprendront en septembre.
D’ici là, je vous souhaite à tous un bel été et surtout une bonne lecture.
N’hésitez pas à laisser en commentaire (ou à envoyer par mail glazmagazine(at)gmail.com) vos idées, suggestions, remarques.
Comme toujours, le numéro est consultable en ligne sur Issuu.
Et téléchargeable au format PDF Interactif (liens actifs dans les textes) ici! Glaz n°4
L’abécédaire de la personnalité, un TAG pour mon dimanche !
Un tag qui nous explore, encore ? C’est Syl. qui me fait ce cadeau, certainement pour me remercier du précédent que je lui avais adressé, on adore jouer au ping-pong, vous avez remarqué ? Allez, il faut se définir avec les 26 lettres de l’alphabet ou à défaut, parler de choses qui nous définissent. Comment ça c’est la même chose ? C’est un tag, je ne réfléchis pas, ça sort comme ça vient, pronto-pronto ! Andiamo ! Pour varier car je l’ai déjà fait il y a un an ou deux (à force on ne sait plus trop), je ne vais citer que des lieux (essayer) où je suis passée et vous dire ce qu’il en est resté… Lire la suite
LA SUPERBE pour mon dimanche !
Noêl approche à grands pas et la cuisine me tend les bras, j’avance dans mes préparatifs, doucement mais sûrement… J’avais envie de douceur ce dimanche, les chuchotis de Benjamin Biolay s’y prêtent !
Et je vous laisse une image de ce que je vais faire une partie de la journée !Je vous souhaite un bon dimanche !
NOCTURNE SUR LA FALAISE (suite)
Ceci est la suite du texte de la semaine dernière que, vous pouvez relire ICI, si le coeur vous en dit !
La neige tombait doucement maintenant et Lina, délivrée du feu de la musique commença à trembler, pantelante comme après un orgasme, du moins ce qu’elle en avait lu, n’ayant encore jamais connu ce grand frisson dans les bras d’un amour.
Des peurs démoniaques, obscures se faufilaient dans le silence crayeux, oppressant et froid. Non elle n’était plus la déesse de ses rêves d’enfant ni la princesse que sa mère eût voulu qu’elle fut. Elle était orpheline, désemparée et sa vie dérivait au fil d’un temps liquide comme l’eau calme des fleuves d’hiver, ces eaux sombres avalées par les ombres abyssales des profondeurs comme ses mains qui se refermaient sur un vide inexorable. Elle avait beau essayer de se stimuler pour faire face aux contraintes qui l’attendaient, d’adopter un comportement seyant à une jeune fille qui vient de perdre ses parents, rien n’y faisait. Elle se réfugiait chaque jour un peu plus dans l’immatérialité des choses, dans des rêves encore si chauds qu’il lui était impossible de démêler les siens de ceux de ses parents, dans les projets qu’ils avaient écrits ensemble et qui à présent se défaisaient comme une bobine de fil roulant sur un plancher ciré. Comment expliquer aux hommes de l’administration qu’elle avait attendu le retour des étoiles pour venir réclamer son héritage ? Elle devrait aussi se nourrir quand les placards seraient vides . Qu’allaient-ils lui répondre, ces hommes assis à califourchon sur leurs certitudes immuables ? Lui renvoyer leur morgue en faisant des acrobaties de papier en double exemplaire pour se donner de l’importance. Des jongleurs de l’inutile, voilà ce qu’ils étaient.
Elle jeta un châle sur ses trapèzes endoloris par le froid et sa sérénade nocturne en se dirigeant vers la maison, roide comme une statue d’albâtre figée par les ans et le chagrin des solitudes millénaires. Les bougies, allumées dans des photophores aux fenêtres la firent sourire un court instant. Elle était seule dans son palais immaculé aux murs suintant des souvenirs heureux des Noëls anciens ; c’était hier et elle confondait la réalité avec son imagination ! Elle devait être équilibriste pour continuer d’avancer sur ce fil étroit tendu au-dessus du rien, pour croire à sa propre histoire, pour laver le trouble qui montait en elle quand elle ne jouait pas au piano. D’ une large bande de sable, découverte par la marée montait les cris des mouettes. Écho strident des cordes brisées de son archet intérieur. Demain c’était Noël, qui viendrait le lui souhaiter ? Qui répondrait au silence de l’absence ? C’est alors qu’on frappa à la porte…
à suivre…
Les 14 mots imposés recueillis chez Olivia pour Des mots, une histoire étaient : orgasme,
sensoriel (pas pu ni voulu le placer, à chaque fois il faisait tache, désolée) , stimuler, imagination, histoire, comportement, trouble, démoniaque, (à) califourchon, acrobatie, trapèze, équilibriste, jongleur, large.
LES PLUMES 17 – Le lundi c’est collecte !
Nous entrons dans une nouvelle ère plumesque puisqu’elles auront lieu une semaine sur deux, je vous conseille donc fortement d’investir dans un calendrier (comme moi d’ailleurs) et de noter les dates de Des mots une histoire de Livvy par un « D » et les plumes par un « P » ! Vous faites ce que vous voulez mais j’ai testé, c’est pratique ! 🙂
Alors aujourd’hui, à l’heure où tant de laideur sature les écrans ou envahit les rues, je vous propose de me dire ce que vous inspire le mot BEAUTÉ. Vous avez jusqu’à 20 heures pour me laisser un mot en commentaires, et à partir de 20 heures, je publierai un billet récapitulant ladite collecte, avec trois mots en R en sus !!! Pour les nouveaux qui souhaiteraient participer, merci de consulter le règlement, ICI !
LA PORTE DES ENFERS de Laurent Gaudé
Voilà encore un livre qui porte bien son titre ! Laurent Gaudé nous emmène en Enfer et pas qu’un peu…
En effet, Matteo qui marche dans Naples, tirant son fils Pippo par le bras pour le faire avancer plus vite est pris dans le feu croisé d’une fusillade entre mafieux et son fils n’y survivra pas. Nous sommes dans l’ambiance dès le départ. Sa femme Giuliana ne s’en remettra pas. Elle le quitte un an après, lui reprochant de n’avoir pas su lui « rendre » Pippo, de ne pas savoir le venger. » Il sentit une dernière fois son parfum et la laissa passer. Giuliana venait de le quitter avec le geste inachevé d’une femme qui regrette de ne plus pouvoir aimer ». (p.103)
Matteo se met alors à rouler la nuit dans son taxi, ne pouvant plus affronter la lumière du jour qui lui a volé son fils.
Dés le départ et comme souvent chez l’auteur, une autre « voix » s’élève en alternance de chapitres, elle vient de 1982, la date où est mort Pippo et parle à la première personne. Alors que les chapitres se déroulant en 2002 sont distanciés par l’emploi de la 3ème personne. Mais on comprend vite de qui il s’agit. De ça je ne peux pas vous parler. En revanche je peux vous dire que les errances nocturnes de Mattéo vont le faire rencontrer une prostituée travesti, vieillissante, Grace, un personnage décadent mais magnifique, un curé rebelle en bisebille avec le Vatican, un tenancier de bar ouvert à des heures impossibles et qui offre des repas somptueux et surtout, surtout un vieux professeur un peu cinglé qui prétend que les vivants peuvent retrouver leurs morts en se rendant à une des portes de Enfers… Or selon la légende, il existe un emplacement à Naples…
Ce livre est douloureux, vous l’aurez compris car il parle du deuil impossible des parents pour leur enfant. Contrairement à la mère qui va s’enfoncer dans la folie et le déni pour ne plus ressentir cette douleur, Matteo lui, malgré une première attitude qui pourrait être prise pour de la lâcheté a toujours l’espoir de ramener leur fils à Giuliana parce que « Pippo était mort en silence, avec un père en colère. » (p.48). Et cette colère permettra à ce père d’accéder à l’impossible rêve, l’aidera à surmonter l’impossible attente…
La force de Laurent Gaudé, je dirai même le tour de force est de rendre crédible son histoire, de faire se côtoyer vivants et morts avec une facilité confondante. J’étais tétanisée de trouille, c’est tellement bien écrit, on s’y croiyait… Car le message est aussi de dire que nous, vivants, sommes pétris par nos morts tout au long de notre vie mais là où le sujet échappe à notre compréhension, c’est que les morts aident les vivants : « Croyez-moi. Les morts vivent. Ils nous font faire des choses. Ils influent sur nos décisions. Ils nous forcent. Nous façonnent. (p . 141). Pa
J’ai retrouvé le versant sombre du Soleil des Scorta mais toujours cette générosité de Laurent Gaudé pour l’Italie complice qui lui tient à coeur. Mais aussi des accents de l’Enfer de Dante et bien sûr le mythe d’Orphée revisité ! Un livre dur, foisonnant et si la plume est trempée dans l’encre de Thanatos, elle n’a rien perdu de son lyrisme et de sa poésie. Et le final époustouflant, nous mène vers la rédemption mais aussi la résilience dans une apothéose d’émotions sensibles, absentes de sensiblerie. Un des meilleurs Gaudé que j’ai lus à ce jour et c’est le quatrième ! Et même si je ne suis pas toujours objective concernant cet auteur, j’assume !
Merci Mind The Gap pour ce cadeau, il ne te reste plus qu’à le lire ! 😉
D’autres avis sur Babelio avec une note élevée de 3.8/5 (sur 410 notes).-
Collection Babel Actes Sud – 267 pages – ©opyright 2008. 7,70€.