Que de renoncements qui ne disent pas toujours leurs noms dans une vie ! Pour les meilleures raisons qui soient, accompagnées des excuses que l’on se trouve, apaisant ainsi la conscience et rassurant l’ego. Il y a dans le renoncement ultime l’image subliminale de l’anachorète qui se retire du monde ou de la bonne soeur qui prend le voile. Cela dépasse mes capacités d’humaine pétrie de faiblesses. Je renonce à être meilleure que je ne le suis mais je renonce surtout, aujourd’hui à supporter des personnes qui ne me correspondent pas, qui ne m’apportent rien et tels des moulins, ne brassent que du vent. Je renonce à cautionner la bêtise si elle doit parasiter mon quotidien. Et de fait je refuse de m’en justifier. Il faut être cohérent non ?
©Asphodèle – 22 avril 2015.
Moins de 100 mots : euh…131 (je me suis laissé aller)
Sur le vif : oui
En accord avec le thème : oui
éléments du réel : oui !
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