Vous pensiez que j’avais oublié ? Que nenni mais … bon… petits problèmes de gestion du temps en ce moment ! Et comme vous l’indique cette jolie photo ci-dessus, nous sommes en alerte (très) orange jusqu’à demain et des poussières, ce qui veut dire que je vais devoir couper la Box et l’ordi quand ça soufflera encore plus fort (c’est déjà pas mal là), aussi me dépêché-je de vous faire part de ma décision concernant un jeudi poésie réservé aux haïkus.
Malgré les 60,87 % du sondage pour un jeudi spécial haïku par mois, il y a 80 % d’entre vous, en commentaires, à souhaiter que ce jeudi haïku soit couplé au jeudi vert du mois. Et je trouve que c’est une excellente idée ! Donc les jeudi verts, dédiés à vos poésies pourront être agrémentés d’un ou plusieurs haïkus ou ne comporter qu’un (ou plusieurs) haïku(s), vous mettrez dans ce cas le ou les logo(s) approprié(s) à votre composition.
Je vous présente le logo haïku, j’espère qu’il vous plaira et que l’idée de « couplage » vous conviendra.Donc nul besoin de bousculer le calendrier, il suffit de vous reporter aux jeudis verts dudit calendrier que vous trouverez sur la Page dédiée « Jeudi poésie 2016/2017 : laissez vos liens ici »…
Je vous souhaite une bonne semaine, toute en poésie…
Vieux livres et vieilles dentelles ! C’est un peu ce que nous demandait notre Cheffe Syl pour ce dernier dimanche de février : présenter notre PLUS VIEUX livre de cuisine et faire une recette tirée du livre (Hé hé trop fastoche sinon) ! Comme j’en ai trouvé deux, vous avez droit à deux recettes ! Pfffiou, je suis en miettes mais ça valait le coup, c’est trop bon ! Cela dit, je préviens les lecteurs pressés : ce billet est trèèèès long (Soène, tu peux le lire en 3 fois, je ne publie pas beaucoup hein !!!) …
Tout d’abord les livres (en piteux état), ayant appartenu à ma grand-mère paternelle et je vous assure que les lire vaut son pesant de cacahouètes Lire la suite →
Logo du jeudi poésie pour présentation d’un poète.
Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, Martine, quand il n’y a pas jeudi poésie ici, nous propose sur son blog, de deviner le mot manquant d’un poème en nous donnant un ou deux indices (selon son bon vouloir) et inutile de vous dire que j’adore ce jeu qui allie mon amour de la poésie et mon goût du jeu, des défis en général. Jeudi dernier, je suis tombée sous le charme du poème de Renée Vivien qu’elle proposait, j’ai eu envie de le présenter à nouveau, le relire et l’illustrer… Et je vous parle un peu plus de Renée Vivien à la fin de ce billet.
Ont poétisé avec moi ce jeudi , les fidèles : Lire la suite →
Youhou ! Aujourd’hui nous avions quartier libre ! On voit quand ce sont les vacances, la Cheffe roucoule avec Mister B. et desserre la poigne qu’elle a de fer…mais dans un gant de velours !!! En plus, adorable elle est, elle m’a envoyé (alors que je n’étais pas la gagnante du jeu), un superbe torchon de comtesse en motifs Toile de Jouy, trop la classe dans a cuisine ! et des « bricoles » comme elle dit… Lire la suite →
J’en ai parlé « comme ça », le mois dernier et comme je constate que beaucoup d’entre vous aiment s’adonner à ce style de poésie, je vous propose un jeudi spécial haïku en mars, qui sera peut-être suivi d’autres si vous me le demandez (gentiment bien sûr !^^).
Avant je vous « colle » une partie d’un billet de 2011 où je vous expliquais (dans les grandes lignes) les règles de base d’un haïku réussi. Davantage pour vous aider que pour vous imposer ces règles. Mais tant qu’à (bien) faire, autant être prévenu. Voici ce que je disais dans cette chronique dédiée à un recueil de haïkus modernes que je venais de recevoir ; rien ne vous empêche de lire ce vieux billet en entier (et les commentaires qui vont avec), si le coeur vous en dit, ICI :
« En japonais, le haïku s’écrit sur une seule ligne verticale, d’un seul jet de pinceau. Il est composé de 17 « more », l’équivalent (en plus subtil) de nos syllabes. En français il fait trois lignes et dix-sept syllabes découpées dans l’idéal en 5-7-5. Il doit comporter une référence à la saison, au lieu et enfin l’émotion, la pensée qui s’élève. La saisonnalité est très importante dans le haïku classique. Le « kigo », littéralement « mot de saison » est la marque de réussite d’un haïku maîtrisé. Était. Car tout évolue, en poésie aussi. Je vous fais grâce des sous-classifications pour ceux qui ne comportent pas telle ou telle référence… Dans ce recueil, je dirai que nous avons affaire plus à des « mojai » (sans référence de saison) mais l’exercice de style sur la musicalité syllabique est respecté et réussi. Ces fragments détachés d’un tout nous ramènent à ce tout, la poésie s’infiltre en nous, comme cette goutte lancinante qui s’élève ou retombe, où le regard se perd. »
J’aurais pu aussi vous parler du tanka, qui comprend 31 syllabes déclinées sur 5 vers de 5-7-5-7-7 ou encore du senryu, censuré à sa « sortie » car trop satyrique (voire pamphlétaire malgré l’humour revendiqué). Bref les déclinaisons sont nombreuses mais nous allons en rester au haïku, si vous le voulez bien !
Vous savez maintenant le principal ! Février étant court, je vous propose la date du JEUDI 2 MARS pour commencer mais ce sera en fonction des résultats du sondage ci-dessous. Quand les bulletins seront dépouillés, j’ajouterai (ou pas), au calendrier de la Page du jeudi-poésie, les jeudis « Spécial Haïkus », avec un logo que je vais faire pour l’occasion avec la photo d’en-tête de ce billet, si elle vous plaît ! Alors, 5-7-5 partez ? ou 1-2-3 soleil c’est non ? Vous avez jusqu’au jeudi 22 février pour voter et j’écrirai un billet pour décider, dans la foulée (le vendredi très certainement). Je précise qu’il n’y aura pas de deuxième tour ! 😉
Quand Agnès Obel reprend Hallelujah de Leonard Cohen, je me demande si je ne suis pas au paradis ! Non ? En touts cas ça y ressemble ! Alors, je suis obligée de vous en faire profiter…enfin…pour ceux qui aiment !
Clic sur le 2ème lien ci-dessous, l’intégration YouTube risque d’être supprimée pour les droits d’auteur…
Oui je sais, pour l’anniversaire des Gourmandises, notre gentille Cheffe Syl. avait organisé un jeu, nous devions décrypter (ho lala trop dur ! 😆 ) et réaliser le « plat caché ». Il s’agissait de la simple et magnifique quiche lorraine ! Je m’étais dit « chouette, fastoche », sauf qu’au moment de la faire, plus de lardons nulle part ni de crème fraîche (oui je dois faire mes courses demain), du moins pas assez. Alors, comme j’avais fait une gelée d’oranges sanguines la veille et des tranches d’oranges confites, je me suis lancée dans des petits muffins citron-Limoncello-orange pour aller avec ! J’étais restée sur un semi-échec la semaine dernière et je n’aime pas ça ! J’en profite pour dédier ce billet à Nina et Edualc dont les anniversaires se suivent, hier pour Nina, aujourd’hui pour Claude ! Joyeux anniversaire à vous deux !
Février-le-court-sur-pattes est là, la Chandeleur est passée dans une orgie de douceurs, les Carnavals ne vont pas tarder à ouvrir leurs bals, de Rio à Venise, aux Antilles, en passant par ceux de l’hexagone, de Lille à Dieppe, de Nice à Menton (hum le Limoncello de Menton, j’dis ça j’dis rien !).
Les poètes du jeudi ont écrit et d’autres nous offrent des poèmes qu’ils affectionnent. Ont poétisé avec moi aujourd’hui les fidèles, toujours… : Lire la suite →
Pas de recette aujourd’hui (non pas que je n’ai pas cuisiné mais le résultat bien que délicieux mérite des arrangements esthétiques). Et pour ne pas m’étendre sur cette loose qui me poursuit depuis une semaine, juste une chanson du chroniqueur François Morel, découvert chez Aifelle un dimanche avec « Le baiser ». Baiser qui m’a donné envie d’en écouter plus et aujourd’hui cette chanson tombe à pic ! Et pic et colé gram !
Je vous souhaite un bon dimancheet, dans l’ordre : j’essaie de dormir cette nuit en premier lieu, de répondre à vos commentaires sur le livre de Dina qui n’était pas programmé pour hier (scoumoune quand tu nous tiens) et de passer sur vos blogs ! C’est dimanche, il pleut, on y croit ! 🙄
Un livre dont j’ai eu envie de vous parler à chaud car il est d’une violence inouïe. Aussi c’est ce brouillon resté en jachère que je vous livre aujourd’hui, presque deux ans après cette lecture marquante. Une plume trempée à la fois dans la glace et le feu. Le style est somptueux, mais exige une attention soutenue, n’allez pas le lâcher une semaine (vous ne pourriez pas de toutes façons, il vous rappellerait) et même avec cette attention le procédé narratif, fait de phrases courtes, rapides comme la vie de Dina la météore, vous laissera en chemin si vous ne suivez pas ! Le livre s’ouvre sur une galopade suicidaire, en plein hiver, dans le Nortland norvégien, autant dire presque le cercle polaire et la glace n’est pas destinée à finir au fond des verres de vin qu’écluse Dina, elle sublime les paysages et cette étrange enfant qu’est Dina, sauvage, presque autiste parfois bien qu’elle ait bénéficié d’ un minimum d’éducation dans la maison de son père, un commissaire de police veuf, mal remarié selon Dina (les belle-mères, c’est jamais ça, là c’est pire !) . Lire la suite →