Heureusement que le pont de l’Ascension a permis à certains d’écrire un texte, c’est pratique ! Mindounet prends-en de la graine, toi qui profites de tes ponts pour paresser, arf ! Bon, j’ai écrit à l’arrache (ça devient presque une habitude) et comme dirait Sharon ce sera un texte *j’ai-fait-ce-que-j’ai-pu*… Pas de pont (ni de vacances) pour ceux qui ne travaillent pas !
Par ordre d’arrivée des liens, voici les 22 participants (moi comprise) :
Ghislaine53, Martine la Turbulente, La Licorne, PatchCath, Carnets Paresseux, Monesille, , Adrienne, Michelle La Belette, Mijo64, Valentyne, EmilieBerd, Domicano, Lydia66, Camille Lysière, Sharon, Cériat, Dan Gazénia, Nunzi. Célestine. Eva&family (à 10h21, samedi 7 mai)
Certains se souviennent peut-être des épisodes d’une histoire avec Diego et Anastasia, une histoire qui se passe en 1954 avec des gens du voyage (comme on disait avant), . Pour résumer brièvement : Anastasia a 17 ans quand elle tombe amoureuse de Diego (25 ans) qui vient de perdre sa femme et sa fille dans un accident de « montagne ». La vieille Izia, l’ancienne du campement avant de mourir a confié Le Livre des Veuves à Anastasia. Il y est écrit qu’elle devra attendre quatre saisons (mais on ne sait pas s’il s’agit d’années ou de lunaisons) avant de retrouver Diego parti quelque part se consoler, se remettre de sa perte… Aujourd’hui je cumule en utilisant également le thème de l’Agenda ironique de mai, tenu bi-polairement par Emilie et Camille Lysière ! Vamos (c’est aussi le mois espagnol chez Sharon) ! 😀 Pour ceux qui seraient intéressés (et vraiment intéressés, aucune obligation), voici les épisodes (cahotiques) précédents (je ne sais pas tout à fait combien il y en a, c’est vous dire mon sens de l’organisation). Ils peuvent se lire indépendamment… 1, 2, 3, 4,5, 6…et un « à part » qui ne parle pas d’Anastasia et Diego (lien à faire)
D’UNE BERGE À L’AUTRE, LE DERNIER PONT…
Arrivé au seuil du village, juste avant le vieux pont de pierres, Diego sut qu’il en était fini de son long chemin de solitude. Les derniers tremblements de l’air encore frais d’où s’élançaient de fières pivoines d’avril, rendaient son cœur vulnérable. Voilà bien longtemps qu’il ne s’était senti ainsi, lui le chevalier téméraire qui apprenait à porter légèrement son cimetière. Au ciel d’aube qui pointait, disparaissait lentement l’étoile d’argent, signant là son adieu aux lisières, aux marges, aux déserts peuplés de cauchemars et de mirages hallucinés dont il peinait à revenir. Lui en restaient dans sa chair quelques méchants stigmates, de nombreux bleus qui l’avaient vieilli prématurément.
Il eût aimé enjamber la rivière, en sautant de pierres en pierres, sur ces rochers ronds, tavelés de lichens, moussus de souvenirs glissants qui le déstabilisaient. Cependant, au loin se dessinait l’entrée de la forêt ; elle abritait son ancienne maison aux volets verts, son ancien bonheur disparu et il voulait, à l’image de l’avion qui venait de passer dans le ciel en laissant une traînée poudrée de rose, reprendre le cours d’une existence déshabillée de ses chagrins. Il était temps de rouvrir les portes et d’avancer sans que la peur ne lui nouât le ventre, et qu’il enlevât enfin ses bottes aux semelles crottées de miasmes inutiles.
Alors qu’il emmenait son cheval boire en louvoyant parmi les herbes hautes, il reconnut immédiatement la femme en vert sur l’autre rive, assise dans les roseaux, affairée à tresser une couronne de fleurs sauvages, ses longues boucles blondes de sauvageonne emmêlées par le vent des chevauchées. Sa jument Tempête hennit en le voyant et elle sursauta . Elle se redressa d’un bond, serrant plus fort les fleurs et se statufia en le voyant. Anastasia avait tant attendu cet instant qu’elle ne comprit pas ce qui se passait. Elle avait tant répété ce qu’elle lui dirait que les mots restaient en boule dans sa gorge, pire, elle ne ressentait rien. Elle inspira une goulée d’air pour échapper au vertige qui la faisait vaciller mais son cerveau ne parvenait toujours pas à croire que c’était lui, Diego, si loin, si proche. Si accessible que c’en était indécent…
– Anastasiaaaa ! Il hurlait son nom pour couvrir le bruit de l’eau sur les pierres.
Elle était toujours muette. Combien de silences avait-elle essuyé sur ses joues rongées du sel des larmes, combien d’épines lui avaient mordu les mains, éraflé le cœur jusqu’à l’âme pendant ces trois années à le chercher, à courir les déserts arides, les villes d’acier et de verre où elle s’était perdue, les chemins de montagne qui avaient étouffé ses rêves ? Instinctivement, elle se blottit contre le flanc chaud de Tempête, avant de remonter sur son dos. Elle savait intimement, au plus profond d’elle que Diego avait fini son voyage mais c’était elle maintenant qui reculait, se cabrait. Il fallait qu’il traversât le pont, elle savait pour la maison dans la forêt, elle n’était pas sûre de vouloir s’y rendre… Enfin…si…elle luttait contre une intuition inavouable. Il faudrait que Diego vienne la chercher à présent, qu’il ne se contente pas d’une vague promesse avant de disparaître à nouveau. Les silences parfois quand ils s’éternisent allument des brasiers où se consument ce que nous pensions éternel, inviolable…
Elle jeta sa couronne à l’eau, éperonna Tempête et s’enfuit vers la forêt où le velours sombre des feuilles abriterait ses doutes en attendant qu’elle retrouve son calme. Diego, bouleversé par ce silence, remonta sur son cheval, bien décidé à atteindre l’autre rive…Aucun pont ne lui semblait infranchissable. L’espoir de la conquête renvoyait loin derrière les ruines d’un passé finissant. Le cœur gonflé d’une force nouvelle, il se mit à galoper en oubliant qu’au commencement était la peur… Seul aujourd’hui parlait du monde des vivants, seul ce présent intense se rapprochait de l’éternité que les hommes cherchaient en vain…
(662 mots) à suivre…
Asphodèle – 6 mai 2016
Il fallait en plus des mots imposés placer les 3 titres de livres suivants :
L’étoile d’argent ( de Jeannette Walls)
La femme en vert (d’Arnaldur Indridason)
L’adieu aux lisières (de Guy Goffette)
et les mots imposés étaient :bleu, cauchemar, vertige, avion, tremblement, sursauter, vulnérable, coller, ventre, eau, téméraire, bouleverser, inspirer, méchant.
Dans l’avant dernier paragraphe, tu as écrit intiment au lieu d’intimement.
Ha mais oui, tu as repris cette histoire, je me souvenais des personnages, pas de toute l’histoire mais des personnages dans leur contexte oui !
La suite est réussie, bravo. On attendra la suite de la suite.
C’est drôle, dans le livre que je lis, il est question aussi d’un pont à franchir, d’un passage…mais rien à voir avec cette histoire.
Bisous et belle journée.
Merci Mindounet d’avoir relevé la faute, ça y est j’ai corrigé ! Je n’avais pas les yeux en face des trous hier ! 😆 En cherchant les épisodes précédents, je me suis aperçu qu’il y en avait plus que je croyas, il faudrait surtout que je les imprime et que je fasse les liens…pour pouvoir « chuter »…Et certains épisodes se ressemblent beaucoup aussi… A vouloir les faire « indépendants » c’était le risque… Tant que je n’aurais pas la fin de l’histoire, ils risquent de galoper encore !!! 😀 Mais je sens que ça vient… Trois ans que ça dure mine de rien ! 😉 Bisous 🙂
« Les silences parfois quand ils s’éternisent allument des brasiers où se consument ce que nous pensions éternel, inviolable… »
Jolie pensée philosophique…
Et d’une pierre (de pont) deux coups, voilà qui est remarquable !
Bonne journée, belle Isa.
bisous 💐💚🌺💜☀
Merci ma Tine ! Il fallait que je cumule les deux, sinon pas le temps ! Mais ce fut laborieux ! Bonne journée à toi aussi, j’ai encore de la cuisine à faire pour demain ! Et après je me repose, ouf ! 😥
Gros bisous♥
Bon !! Et tu as écris à l’arrache !! Fichtre !! On a jamais envie d’arreter de lire !
La suite quand ?? quand ??
Oui Ghisou à l’arrache hier, au dernier moment et je n’aime pas ça, j’aime quand mon texte est écrit le jeudi, que je puisse le peaufiner le vendredi en entrant les liens tranquillou ! Mais là, une insomnie la veille a bouleversé mes plans ! La suite viendra quand j’aurais tout relu de ce qui est écrit pour que je finisse cette histoire…je ne sais pas quand… 😀 Mais cette année c’est sûr… 😉
Bonjour, tu m’excuseras de donner mon lien tardivement mais si je te dis qu’hier soir, j’étais avec Thomas Dutronc…
http://randonnezvousdansceblog.blogspot.fr/2016/05/les-plumes-52.html
Bon week end !
Bah évidemment, Eva, si tu me dis ça, je suis heureuse pour toi mais verte de jalousie, j’adooore Thomas Dutronc !!! 😆 Allez, tu es pardonnée ! 😀
Fleurs et chevaux, un homme, une femme tels qu’en l’éternité…Jolie fidélité à tes personnages. Bises et à ttds.
Oui Claude, des personnages qui galopent en tous sens depuis 3 ans et qui ont fini par me rattraper, il faut que je termine cette histoire afin qu’ils me laissent tranquilles ! :D: Bises et à ttds.
il y en a qui écrivent un texte plein de perles, comme ça, à l’arrache, et nous on les recueille avec d’autant plus de plaisir qu’on adore les histoires d’amour 🙂
Rhooo merci Adrienne ! Cette histoire dure depuis 3 ans, mine de rien, elle va, elle vient, je vais finir par y mettre un point final…Encore peut-être deux trois épisodes, je vais voir, ça dépend comment les mots m’inspirent ! 😉
Il y a de l’espoir dans ce texte en plus de la peur.
Bisous Asphodèle!
Merci Isa, l’histoire commence à se « dénouer » et touche à sa fin, espérons qu’elle finisse bien ! 😆 Avec moi rien de moins sûr ! 😀 Et quand ? Je ne sais pas non plus…quand mes personnages se feront trop pressants…
Elle me plait beaucoup ton Anastasia d’inciter Diego à venir la chercher 🙂
Bisesss Asphodele
Oui Val, depuis le temps que c’est elle qui lui galope derrière, on va le faire mariner un peu le Diego ! 😀 Ce n’est pas une carpette Anastasia ! Biiiises Little HorseVal (green) ! 😀
C’est d’un romantisme échevelé…qui fait oublier le vocabulaire effrayant, et nous fait traverser le pont de l’amour au galop…bravo !
Libre dans sa tête, Diego ?
Hi hi La licorne ! je ne sais pas si c’est le romantisme qui est échevelé mais depuis le temps qu’ils galopent, se croisent, se loupent, eux le sont échevelés ! Oui Diego est libre dans sa tête mais pas tant que ça… On va voir… 🙂
Bon sang, ce sens de la formule ! « Apprendre à porter son cimetière », la classe… Bravo Asphodèle, du grand art !
Merci Camille, tu me fais un beau compliment ! 😀 Du « grand art », n’exagérons rien non plus !!!! 😉
Pour quelqu’un qui a fait ça à l’arrache !!! C’est bien ce que je te disais : tu nous as concocté un texte aux petits oignons. Bravo !
Lydia, j’avais commencé à l’écrire dans ma tête, à visualiser mais hier ce fut à l’arrache, j’aime quand mon texte est fini le jeudi et que j’ai le temps de peaufiner, de « couper » aussi … Maintenant, il va falloir que je regroupe tous les textes écrits à leur sujet pour « chuter » dignement !!! 😀 Et m’est avis que ça ne va pas être le plus facile ! ^-^
Je te comprends, oui !
Soupir ! 😆
Quels mots lyriques pour une belle histoire d’amour infinie. Un texte chargé de rêves qui se nouent comme une longue chaîne d’amour, où les cœurs frémissent et se pantellent mais se jurent qu’ils franchiront bien un jour, ce pont impossible.
Tu m’a épantelé Asphodèle (ne cherche pas ce verbe, il est made in Célestine)avec ton imagination tellement aérée et aérienne. Elle donne des vertiges mais elle souffle l’espoir; l’espoir qu’un jour, un jour, viendra couleur d’orange.
Bravo
Bizak, ton commentaire me laisse pantoise et…pantelante (ce n’est pas made in Célestoche ça !!!^^) ! Tu sais trouver les mots qui exaltent ! Merci, je ne trouve que ça à te répondre et c’est bien maigre…en comparaison ! 😉 Mais j’espère aussi que le jour couleur d’orange viendra…
Quelle richesse ce texte …! Je suis fan de tes métaphores pleines de subtilités. Et fan des belles histoires d’amour !
A quand la suite ?
Merci Michelle ! Je vais travailler à la suite et surtout à la fin car j’écris cette histoire en dilettante depuis 3 ans et il faut que je « lie » les textes, que je vois où ça va mener et finir… Je ne pensais pas aller si loin quand je l’ai commencée…
Wooaa depuis 3 ans ! C’est vrai que plus c’est « vieux », plus on y tient … Et c’est très joli, continue de les faire vivre.
Michelle, ça passe tellement vite 3 ans quand on blogue, que l’on écrit pas mal finalement… Merci à toi en tous cas ! 🙂
C’est un magnifique doublet! Bravo!
Elle a un esprit de contradiction très développé !! Mais comme on dit, loin des yeux…
Et il leur faudra attendre un autre pont pour se rapprocher enfin…😉
Gros bisous
Merci Emilie, trois que ça dure cette histoire (même moi je n’en reviens pas que ça fasse 3 ans 😆 ) . Le pont m’a inspiré car dans l’avant-dernier épisode (avant celui-ci il me semble), Diego était déjà près de ce pont… Je ne sais pas encore comment ça finira, ça mûrit ! 😆 Gros bisous ô vaillante bi-organisatrice ! (hey tu prends du galon 😆 ) 😀
Bah! Tu te moques!😅
Emilie, môa me moquer ? Tu rigoles !!! 😆 Hi hi !
Et dis moi…as-tu déposé ton lien ? Chez Camille ou chez moi???
Hi Hi Hi! Bon, si tel n’était pas le cas, je l’ai récupéré…Mouhaha 😂😘
Emilie oui il me semble que je l’avais déposé chez toi, il me semble ! Parce que le samedi des Plumes, je ne me souviens pas de tout !!! 😀 Si tu l’as récupéré c’est parfait ! Je vais lire ton texte aussi, suis en retard !!! 😥 Bisous 🙂
Hé bien, chapeau, tu nous enjoins de ne pas dépasser 700 mots et tu nous offre une série en tu-ne-sais-même-pas-combien d’épisodes ! 😉 alors, Asphodèle, aussi contre-pied qu’Anastasia ? je ne sais plus qui me disait qu’on retrouve toujours l’auteur derrière l’un ou l’autre des personnages, même masqué d’un loup :)…
(je reviendrais lire les épisodes précédents tranquillement.
Mon cher Dodo, hé ho ce n’est pas un feuilleton comme tu sais si bien les faire ! Il y a 3 ans, il n’y avait pas cette consigne des 700 mots (mais chaque épisode ne doit pas les dépasser ou alors de très peu)… Tu sais, je mets les liens vers les précédents pour la forme sachant que personne n’ira les lire (ou relire) un jour de Plumes ! D’ailleurs il faudrait que je « retrouve » tous les épisodes pour amener la chute (enfin ! Il serait temps !). Je ne suis pas Anastasia (je n’aurais jamais pu galoper déjà et d’une 😆 ) et vivre sa vie) mais il y a certainement un peu de moi en elle, c’est obligé ! 😀 D’ailleurs comme les épisodes étaient « indépendants » des uns des autres, il y a des redites ou des épisodes qui n’ont rien à voir (celui des Plumes pour « Racines ») , il faudrait que je fasse les « liens »…mais il me faudrait du temps supplémentaire ! 😉
Je n’ai pas lu une histoire, j’ai vu un film, des images , les émotions étaient palpables et les personnages avaient l’air hors temps. J’ai beaucoup aimé tes mots, et tes descriptions à la fois sensuelles et poétiques; Belle semaine Aspho , des bises.
Domi, tu as très bien vu, je voulais des personnages hors du temps, sans portable, sans voiture, sans moyen de se joindre si ce n’est par le hasard des rencontres…voulues ou hasardeuses ! Merci à toi et bonne semaine aussi ! 😀
Oh my God ! mais comment j’ai fait pour oublier encore une fois de te commenter…Tu sais quoi ? Tu devrais mettre ton lien quelque part au milieu des liens. Parce que je m’applique à n’en oublier aucun, systématiquement, et quand je suis arrivée au bout, j’oublie la taulière…
« Les silences parfois quand ils s’éternisent allument des brasiers où se consument ce que nous pensions éternel, inviolable…» Quelle belle phrase. Une parmi tant d’autres qui m’emballent dans ta façon inimitable de broder les mots.
Diego, libre dans sa tête, sur son destrier ? Elle, fière et indomptable…
J’aime ce pont qui les relie.
Bises ma chère copine.
¸¸.•*¨*• ☆
Haaan tu m’avais oubliée ? Je ne m’en suis pas rendu compte, heureusement, je t’aurais passé un savon sinon, tu le sais hein ! 😀 Il faut dire que ce dernier week-end entre Plumes et cuisine du dimanche a été bien chargé ! Merci ma Céleste pour ce gentil commentaire, tu sais bien que je te pardonne tout, tes retards ou tes « oublis » (tant que tu ne m’oublies pas moi^^) !!! Je ne peux pas mettre de lien pour moi dans mon billet puisque je suis sur le billet (tu vois ce que je veux dire ?) mais je ferai comme avant : « mon texte CI-DESSOUS » 😆 Et puis tu n’as qu’à commencer par moi, comme ça tu ne m’oublieras pas !!! Gros bisous ! 😀
Ping : L’agenda ironique de mai : par ici les textes ! – Camille Lysiere
Ah, une histoire à suivre ! C’est délicat lorsque le temps nous happe ailleurs, mais je crois que je pousserai la curiosité de revenir. J’ai beaucoup aimé le silence d’Anastasia et tout ce que celui-ci évoque. Il est très parlant 🙂
Bonjour Laurence et bienvenue ici ! Oui je sais bien que les histoires « à suivre » quand on prend en cours de route sont rarement lues mais ce n’est pas très grave tu sais ! Il ne faut surtout pas se forcer et aller lire si vraiment ça nous intéresse ! 😉
Oups, désolée pour la faute !
Quelle faute ? Tour de baguette magique et hop elle est corrigée ! 😀 (le happENT me faisait mal aux yeux aussi ! 😀 )…
Ping : AGENDA IRONIQUE DU MOIS DE MAI : LE VOTE | Les Petits Cahiers d'Emilie
Ah la la ! Pour qu’un pont soit au même endroit à la même heure, quelle patience faut-il donc déployer. Dis moi, Aspho, il me semble que cette mouture est digne d’un grand arabica, si je ne me trompe… 😉
Non non, je ne taquine personne, là ! 😀
Bises Madame Asphodèle, j’ai beaucoup admiré la réponse que tu as fait à carnets, une réponse qui fait si bien diversion qu’à la fin on en oublierait presque la question… 😉
Désolée Jo de répondre aussi tard mais semaine chargée en RV « hospitaliers » plutôt inhospitaliers d’ailleurs !^^ Merci pour le grand Arabica, il infuse ! 😀 Certains se reconnaîtront, arf ! Comment ça j’ai dévié ma réponse à Carnets ? Tu oublies que ce Dodo roublard n’a eu que ce qu’il méritait ! 😆 De temps à autre, il faut le perdre, il n’en apprécie que mieux de nous retrouver ! Bises à toi aussi et bon week-end sous…cette pluie d’automne ;O! On va s’occuper à la maison !
Oh, cette suite, si romantiquement échevelée, repartie pour des chevauchées…que c’est beau!
J’ai pris mon temps pour venir lire cette histoire galopante et romantique à souhait ! Tu écris vraiment visuellement, chaque détail est peaufiné, c’est incroyable que tu arrives à écrire comme ça en étant toujours à l’arrache. Vraiment chapeau !
bises m’ame Asphodèle !