139 réflexions au sujet de « LES PLUMES , résultats de la collecte, nouveau logo (suite et fin) ! »

    • Merci lylou, les gifs m’amusent quand je les contextualise ! Et moi je te souhaite une bonne soirée, je ne suis pas passée sur la blogo aujourd’hui, ma journée d’hier m’a tuée ! 😀

  1. J’ai lu tous les commentaires hier…je suis un ange par rapport à JC et Soène mais faut dire que j’ai moins le temps.
    Quel joyeux boxon, ça fait plaisir à lire mais tu devais être épuisée hier au soir. Un blog sérieux, mais c’est chiant les blogs sérieux…
    Sympa le Gif du chat…

    • Mindounet en chat qui glisse et se casse la binette, j’adore 😆 c’est mieux que le canard ou le poussinet. Mindoucat ce sera désormais 😆
      Les réputations se font vite, hein !
      Bises♥

    • Épuisée crois-tu, elle a une telle agilité des phalanges ?
      Entre Mindounet et Mindoucat, elles t’ont gâté mon pauvre, quelles vipères ! 😆 Quand je pense qu’une au moins me prend pour un singe. ..grrr.. hahhahahhahah

      • C’est pas moi cette fois, Jean-Charles 😆
        Et toi tu le prends bien, ça fait plaisir, tu comprends la plaisanterie 😉
        Bonne fin de semaine et gros bisous yonnais

        • @Soène Je ne suis pas sûr de comprendre la plaisanterie mais avec la chouanne y faut bien… Elle sait plus bien si elle est Calédonienne ou Vendéenne, si c’est le réveil qui sonne où les cloches de l’église. Elle est choutée aux blogs, y faut sa dose de web en fond d’œil, en piqûre… ça use, alors je dois être tolérant… 😛
          Bonne fin de semaine Ni…Soène 😉

  2. Hello Miss Aspho,
    Ben si, j’ai bien vu qu’il n’y avait rien… mais j’ai rien dit car j’ai pensé que tu étais épuisée dans cet amoncellement de commentaires croisés 🙄
    L’ancien logo avec la nouvelle écriture est pas mal du tout mais il faut bien changer de temps en temps sinon on s’ennuie 😆
    Comme Syl t’a déjà décerné son Oscar, je te donne une médaille en chocolat pour tout : ta patience, ton endurance, ton humour, tout ce boulot, tes trouvailles animées, ton clin d’oeil, j’ai rien oublié ? 😆
    J’ai passé une belle journée hier dans ma tour !
    J’ai trouvé mon bocal mais j’ai 28 jours de retard 🙄 Je vais m’y mettre sérieusement ! Et j’aurai le même petit bonheur que Syl, aujourd’hui 😉
    Gros bisous et bon mardi♥

    • Merci Soène pour ce gentil commentaire que je retrouve en faisant les archives, tellement il y en a eu depuis !!! Toute une page passée en page 4 !!! Pas étonnant que je sois lessivée ! De là à ne pas voir que mon billet ne s’est pas publié, tu avoueras… enfin ! Bises♥

  3. Bonjour Asphodèle, les mots sont relevés yapluka ! 😀
    Le deuxième fait très bien avec les lettres revisitées. 😀 Mais si tu as envie de nouveauté, mets le premier, c’est ton avis qui prime au final. 😉

  4. si si si hier soir je suis venue voir la liste et rien !!!!!!!!!!!! j’ai laissé un com pour demander ou tu étais passé ? car après tout tu aurais pu avoir un empêchement important, donc je n’ai pas insisté Aspho,

    • Ghislaine, j’étais descendue manger (quand même) et après j’ai fait mon billet d’aujourd’hui qui urgeait mais je ne me suis rendue compte de rien, tellement j’étais sonnée ! 😆 Merci à toi en tous cas ! 😉

    • Ghisou, non…pas 29 ! 23 ou 26 (je ne sais même plus^^) ! Je viens de vérifier : 25 moins un qui ne te plaira pas. Transparence c’est le thème, tu n’es pas du tout obligée de le mettre ! 😆

    • Adrienne, oui, c’est sûr mais pour que je ne publie pas mon billet de 20 h, il faudrait que je sois dans les pommes ou qu’il y ait vraiment un gros pépin ! J’étais vraiment épuisée mais mon billet était fait, j’ai dû mal programmer et après…je n’ai rien vu ! 😉

  5. Bonsoir Asphodèle, mots notés !
    J’ai voté pour le nouveau logo car j’aime bien le changement 😉 (c’est bien le n° 2 ? parce que ce n’est pas spécifié).
    Bonne soirée.

  6. Bonsoir Asphodèle. Le texte est plus dans ma tête, que sur le papier. J’espère pouvoir l’envoyer jeudi. Cela ira? Bonne soirée, et bonne écriture.

  7. Voici mon texte. C’est la suite de « La leçon d’équitation », écrit chez Olivia.

    TANAGRA

    « Mon coeur de pigeon, ma meringue, je te mange, je te mange. » Picorant des baisers sur la peau de mon enfant, installés dans le moelleux des coussins de dentelle de mon lit, je ne me lassais pas de lui murmurer à l’oreille des mots tendres. Mon fils babillait, répondant à mes mots, mes faiblesses; sourire ravi, montrant ses jolies quenottes, tandis que je lui murmurais ces folies. « Mon sucre d’orge, mon bouton de rose, je te croque, je te croque. »
    « Cessez de roucouler Béatrice. C’est d’un ridicule ! »
    Mon mari apparaissait, parfois, nous assénant quelques phrases de ce genre. Puis disparaissait aussitôt, être insignifiant.
    Notre bavardage, un instant interrompu, reprenait de plus belle, tendre complicité ponctuée d’éclats de rire et de gazouillis prometteurs et pleins d’innocence.
    J’aimais ces instants. Il y avait aussi ceux du bain. Pour rien au monde, je n’aurais confié ce rituel à quelqu’un d’autre. Je contemplais mon angelot, tout droit sorti d’un tableau de Botticelli, jouant avec les bulles de savon, qui éclataient, arcs en ciel crépitant entre ses doigts impatients. Nous laissions l’eau retomber en cascade de gouttelettes, reflétant la lumière des miroirs. Je lui disais mille et un contes, l’histoire de ce papillon dormant dans ses boucles, qu’un battement d’ailes avait poudrées d’or, l’aventure de la libellule venue se mirer dans le lagon de ses yeux, les soupirs du bouton de rose, jaloux de sa jolie bouche.
    Ma belle-mère avait surpris ces ébats. Derrière cet éternel brouillard de sévérité, j’avais eu le temps d’apercevoir, dans ses yeux, une lueur câline.
    Celle-ci, habituée au règne sans partage, avait tenté de m’imposer sa politique. Devenue grand-mère, une trêve tacite s’était installée.
    Mon fantôme de mari semblait s’être plié à cette règle.
    Pour être honnête, je n’avais pas beaucoup pensé à Rodolphe de puis la naissance de Julien.
    Sa présence commençait à me manquer. Je savais qu’il avait une compagne. J’avais hâte de la connaître.
    Cette rencontre arriva plus vite que prévu, les affaires de mon oncle l’obligeant à s’absenter quelques temps, hors du pays. Je découvris une jolie personne, ravissante Tanagra. Nous sympathisâmes, attirée de façon réciproque. Julien lui fit la cour. Elle y répondit, charmante.
    Nous nous quittâmes, promettant de nous revoir très bientôt.
    Ce soir-là, j’eus envie de mon corps. Nue devant ma psyché, je me contemplais. C’était la première fois, depuis mes couches. Je le caressais, retrouvant ses creux, ses renflements, aucune vergeture ne défigurait mon ventre. Je m’habillais, faisant glisser sur ma peau ces dessous soyeux. Je frissonnais, délicieux désirs que je croyais oubliés.
    Au cours d’une promenade avec Blog, mon chien, nous nous vîmes. Il aboya, lui faisant fête. Elle comprit, amusée, pourquoi un tel nom. Ses aboiements ne ressemblaient en rien à des « Wouaf-wouaf » ordinaires. L’entendant , la première fois, j’avais choisi, pour le nommer, cette onomatopée de ce son introuvable chez ses congénères.
    Je la suivis dans son appartement. Elle me reçut dans un boudoir, sofas recouverts d’amples châles damassés ; murs tapissés de romans étrangers, objets exotiques rappelant ses origines, culture riche de ses différences et de ses mystères. Nous bavardâmes comme si nous nous connaissions depuis toujours. Elle portait une robe d’intérieur, soierie incrustée de précieuses broderies, rehaussant son teint diaphane. Je tendis la main vers ces splendeurs. Elle la saisit au passage. Sa peau si douce me fit penser à la soie de son vêtement. Je retirais ma main. Il fallait que je parte retrouver Julien.
    Nous devions nous revoir le lendemain. Je restais longtemps avec Julien, prolongeant le plaisir de sa présence, de tous ces petits moments de partage, rien qu’à nous. Plus que jamais, j’aimais mon fils, je le lui disais, l’embrassant avec fougue, l’écoutant me raconter des merveilles. Je sentais vibrer en moi ces fils invisibles ; mon trésor, mon chef d’œuvre !
    Le lendemain, j’arrivais chez elle. Elle m’apparut, miniature fragile ; ses yeux brillaient du plaisir de me revoir. Dans le boudoir, sur une table basse, elle avait disposé des pâtisseries, loukoums fondant comme un baiser, savoureuses cornes de gazelle, royauté des zlabias, vapeur mentholée du thé brûlant s’échappant de la théière des Mille et Une Nuits.
    A la vérité, je mangeais peu, envahie d’une émotion, que je croyais due à contempler ce décor, dans lequel je me sentais si bien. N’arrivant à se poser nulle part, mon esprit vagabondait, le charme étrange de mon hôtesse, ce confort diablement sensuel, cette chaleur qui commençait à me troubler…Ariane se pencha vers moi, m’offrant un gâteau. Son déshabillé glissa, dévoilant dans leurs nudités, deux petits seins, sculptés magnifiquement. Je m’en emparais, nos bouches se trouvèrent, nos mains s’égarèrent à la découverte de nos corps.
    Nous nous retrouvâmes enlacées, radieuses. Sa main caressait mes cheveux en désordre. Je me rhabillais. Il fallait que je parte.
    Je trouvais Julien sur les genoux de ma belle-mère. Je m’aperçus qu’elle portait un chemisier en voile, mon fils très occupé à essayer d’attraper les cristaux qui le décoraient. Son père, à quatre pattes devant lui, émettait des « mêêê, mêêê », ce qui lui convenait fort bien.
    « Vous êtes en beauté, belle-maman, ce soir. »
    « Julien m’a éclaboussée, en prenant son bain, dit-elle, riant. C’est le corsage que je portais pour mes fiançailles. Et il me va encore. »
    « Il vous va même très bien, belle-maman. »
    « Béatrice, appelez-moi Renée. »
    « Je vais me changer pour le dîner, belle-ma…Renée. »
    Le dîner se passa comme un enchantement. Renée avait sacrifié une excellente bouteille de vin, de sa cave. Le repas était délicieux. « Nous avons une nouvelle cuisinière ? » questionnais-je.
    « Non, j’ai eu envie de nouveauté, ce soir. »
    « Vous avez eu raison. C’est délicieux. » Les émotions de l’après-midi m’avaient donnée de l’appétit.
    Je montais me coucher, choisissant une tenue de nuit, style bergère, espérant que mon mouton de mari ne se ferait pas trop attendre. Je l’entendis traverser le couloir et frapper à ma porte. En fait de mouton, ce fut un bélier qui entra dans mon lit.
    J’aurais préféré plus de tendresse et d’émoi, mais mon mari n’avait aucune fantaisie pour ces choses-là, comme pour bien d’autres, d’ailleurs.

    Le lendemain, il était convenu avec Ariane d’aller faire une balade à cheval. Je lui confiais mes secrets, mes apprentissages avec Rodolphe. Elle m’écouta passionnément. Nous savions ce que nous voulions. Revivre les beaux moments de la veille, les embellir encore.
    Nous nous reconnûmes, retrouvant les gestes, en inventant de nouveaux, toujours mêlant nos corps que nul voile n’entravait.
    Le temps passait ; Rodolphe devint notre complice. Il était visible qu’il était enchanté de ce qui nous arrivait.
    Mon fils grandissait. Je lui appris à monter à cheval. Et pour le reste, mon intuition maternelle avait compris, qu’il ne ressemblait pas à son père.

    • Miss Nefer, j’espère aussi, sinon gare !!! 😆 je n’ai toujours pas fini le mien et j’avoue que blog me pose vraiment problème ! A l’époque de mon texte il n’y avait ni blog ni Internet ! Je crois qu’il va passer à la trappe, tu sais que tu as le droit d’en supprimer un ? :)Bonne fin de soirée ^_^

    • Soène, nooon, je n’y crois pas !!! Bah je ne sais pas quoi te dire ! 😦 Fais comme tu peux, je prends ton lien alors, visiblement tu as un plan B ! Bisous et bonne soirée♥

      • Pas de panique, jeune fille ! J’ ai pas dit ça. L’ ancien correspond mieux à ma petite personne au niveau de l’ esthétique, de la couleur, des objets. Je suis pas trop rubanzédorures, mais franchement, c’ est pas important. L’ important c’ est de prendre grand plaisir à gribouiller des petits textes sans prétention.
        Un gros bécot, mon Aspho de porcelaine.

        • Ho Pierrot mais y’a pas de dorures ni de rubans ! C’est un écritoire (en bronze même pas doré) ! Bon… ça me turlupine quand même… Un gros bisous mon Pierrôt de bois ! 🙂

    • Béatrice, ne t’inquiète pas, ce sont des choses qui arrivent ! Surtout quand il faut écrire toutes les semaines…personnellement une semaine sur deux me convient beaucoup mieux ! 😉

    • Merci MCL, je t’ajoute et à 20 heures, je ferme si je veux être d’attaque demain pour la lecture, il y en a moins que la semaine dernière mais quand même 24 avec Jacou et moi ! 😉 Dimanche, je dors ! 😀