C’est parti pour le journal d’un petit R.A.T pendant 12 h !!!

Avec Tiboux comme chef d’orchestre, nous démarrons à 10 heures sonnantes ! Mes collègues ratteuses et néanmoins amies, Syl, Aymeline , L’Or des chambres  , Natacha  (une fitzgeraldienne acharnée elle aussi !)pour celles que je connais et qui se sont manifestées, j’ajouterai les autres au fur et à mesure de la journée :  mes « souteneurs » (bon ça va, elle est facile !), mes pom-pom girls en tenue (allez voir chez elles, ça vaut le coup d’oeil !!!), Somaja et Jeneen, Soène (sans la tenue), George (sur la route des vacances) et mon pomme-pomme boy, Antiblues (voir son billet, c’est grandiose !), ça va pulser ! MA PAL initiale ici !

8 h : je me lève, il faut tenir la journée, j’ai donc fait la grasse matinée, je vous épargne la photo au réveil… mon plateau encore vide m’attend. Mais de ma chambre je vois l’aube tardive qui flamboie, il va faire un temps superbe, ça stimule les neurones !

 

7 h 30 : ma boulangère m’a laissé les croissants à la porte, c’est pas beau ça ! Je les ajoute vite à mon plateau petit déj’ où se côtoient déjà des navettes, pas les vraies mais le goût de la fleur d’oranger  est là, des canistrellis, mes livres, mon carnet, mes post-it, tout va bien.

« Et rester vivant » de Blondel est mon premier livre, titre de circonstance non ?

8 h 00  : Le café est bu, un autre est dans la tasse !

 

Le petit mot d’encouragement de ma boulangère et ses bises !!!Je prépare mon carnet mais surtout mes post-it qui vont jalonner mes lectures, pas trop le temps de prendre de longues notes aujourd’hui…

Allez, je lance ce billet, rendez-vous à midi pour la suite !

9 h 55 : Je vous laisse, j’inspire, je rejoins ma chambre et je ferme la porte ! à tout à l’heure et merci déjà à ceux et celles qui sont passés !

EDIT DE 12 H 00

Et voilà, j’ai fini le Blondel, 245 pages, courtes écrit gros en 1h45 mais je n’aurais pas pu le lâcher de toute façon (Merci George !)! Un pur bonheur, je regrette juste de ne pas pouvoir faire mon billet de suite, alors j’ai mis des post-il partout sur les lignes pour me repérer, je vais attaquer Les Enfants du Jazz de mon cher Scotty et là… plus de 400 pages, écrites tout petit, ça ne va pas être la même ! Mais, c’est le plaisir qui prime !

les post-it délimitent les lignes qui ont compté dans cette lecture, et il y en a !

A 12 H 30 : après un petit tour, je commence : Je me sens très bien, pas fatiguée du tout et au contraire, envie de continuer, cela va-t-il durer ?EDIT DE 13 H 30 :

Je viens de déjeuner, plateau amoureusement préparé par la mama ! Donc même en lisant la bouche pleine, plus le petit verre de vin blanc (je la soupçonne de vouloir me faire baisser le rythme !), prochaine mise à jour à 14 h 30 ! Merci à Antiblues de s’être teint en roux pour l’occasion, magnifique ! Allez le caoua et ça repart ! promis, la photo tout à l’heure !

EDIT de 14 H 30 :

Dur dur la digestion (lire en mangeant passe encore !) aussi, rythme ralenti mais quatre nouvelles des Enfants du jazz, soit 155 pages, déjà pas mal car c’est écrit petit par rapport au Blondel, je vous montre ! Et mes pom-pom girls digèrent elles (lui) aussi ??? Je ne les entends plus ! Après la sieste, ils vont devoir me porter ! Prochain EDIT à 17 h30 ! Merci à vous de continuer la mobilisation ! Mais une petite « épitaphe relevée dans  la nouvelle « Tarquin des quartiers », qui a toute sa place ici :

 » Il lisait à table, il lisait couché
S’il en avait le souffle, il lisait à voix haute,
Et comme il ne pensait plus jamais à rien d’autre,
Aforce de lire il s’est tué ». (encourageant non ???)

EDIT DE 17 H 24 :

PFFFIOU !!! Heureusement que vous êtes là hein ! Les yeux commencent à « beurluter » comme on dit par ici ! Me reste deux nouvelles à lire des Enfants du Jazz, environ 50 pages, ce qui sur un total de 436 est déjà pas mal. Je laisse pour le moment, je veux l’apprécier mon Fitz, et j’ai trouvé un vieux Fred Vargas « Ceux qui vont mourir te saluent (non je ne le fais pas exprès je vous jure) mais c’est le seul polar « court » trouvé dans ma PAL ! 190 pages d’ici 19 h 30 (écites plus gros en plus) devraient être digestes ! Merci pour les toutouyoutou (hein Somaja ?), la voiture-balai d’Antibloues va commencer à ramasser les gambettes fatiguées alors haut la jambe ! 🙂 Une petite vue du clocher qui m’égrène les heures imperturbablement !

EDIT DE 19 H 48

Après avoir répondu à vos si gentils commentaires, ça aide je vous assure ! par contre seulement 65 pages de lues chez madame Vargas, ce ne doit pas être le meilleur ! Looong à démarrer… Je m’accroche, rendez-vous à 22 heures pour le bouquet final, enfin ceux qui auront résisté ! Hein les pom-pom ? Ca va ? Pas de crampes ? Bon, allez on s’accroche, c’est presque ffini ! Je ne sais pas si je change de livre, ma décision va se jouer sur les dix prochaines pages !

EDIT DE 9 H55

C’EST FINIIIII ! Waouh, je ne suis pas morte, mais j’avoue être un peu nauséeuse comme après une traversée houleuse ! Il faut dire que le Vargas (190 pages) n’était pas à la hauteur de mes espérances, bof, bof ! Mais j’ai même lu 30 pages de mon FREEDOM interminable et en fin de course, j’avoue, je suis contente de moi ! Alors certes le bilan n’est pas l’initial mais je n’ai pas lu non plus 12 heures d’affilée si je compte le temps passé en « pauses » à mettre ce billet à jour, à passer voir les copines et à vous répondre : ce qui fut les trois-quarts du plaisir, disons-le ! Parce que franchement, lire douze heures, sans parler, sans manger, je dis, il faut être fou mais là sincèrement, entrecoupé de pauses c’était bien, très bien même, malgré mes yeux qui réclament des compresses de bleuet urgemment ! Un petit apéro les pom-pom féminins et masculins ? Une petite douche quand même avant de sortir, faut pas pousser et hop je repars ! Non, je rigooole, je vais aller me coucher après avoir pris mon apéro, s’entend. Même si je n’ai lu que la moitié des 1500 pages prévues j’y ai droit hein ? Merci à vous tous et toutes de vos passages, de vos mots d’encouragement qui m’ont énormément touchée ! Allez les pom-pom, vous pouvez enlever votre costume et Antiblues, tu n’es plus obligé de te cacher sous ta perruque rousse !

Sûr que je n’ai pas fini dans cette position que je craignais mais ça tangue ! Finalement l’apéro… on verra demain !